Note globale : 10/10
Note littéraire: 10/10
Mon résumé
Phaco, enfant monstrueux, est exhibé dans les foires. Il s’évade, vole pour manger et se fait enfermer dans un centre de redressement. Là, il se lie d’amitié avec Bobbu, le gros rouquin souffre-douleurs qui s’exprime par proverbes déformés. Ils luttent ensemble contre la violence de leurs congénères et de leurs gardiens mais découvrent des activités illicites abominables : les adolescents les plus forts disparaissent les uns après les autres, car destinés à des expériences dignes de Frankenstein.
Appréciation générale
En une phrase : Dès le début, j’ai apprécié le ton, l’humour, décalé mais avec finesse. L’histoire est un conte, mêlant film d’horreurs pour enfants et réflexion d’auteur sur la société actuelle. Le jeu de la distanciation est parfaitement maîtrisé. Je suis entrée dans le monde de Phaco en m’attachant aux personnages et en me laissant imprégner de leur langage. Au moment où la tension grandit, je suis même partie d’un éclat de rire (ce qui est tout à fait exceptionnel au cours de mes lectures) sur « Tel est cuit qui fait des cendres », pour donner un exemple. En terminant la phrase finale, je n’ai pu retenir un « wouahou ! » de conclusion. Franchement, bravo.
Ce que j'ai particulièrement apprécié :
style parfaitement maîtrisé de l’auteur qui fait parler son héros un langage familier, parfois argotique, mais avec truculence et intelligence
Autres commentaires
Style littéraire :
le style est justement le plus du livre
Mon sentiment sur le titre du livre :
très bien
Ce que je pense des personnages :
Tous les personnages sont complètement incarnés, avec les nuances qui leur conviennent, entre dessin animé et film noir.
Ce que je pense du thème général du livre :
C’est un monde en soi à découvrir.
Ce livre ferait-il un bon film ? :
Le risque est grand de tomber dans une vulgarité sans intérêt. Je préfère en rester à la version écrite.
Evaluation par Druard Sophie
Mon résumé
Phaco, enfant monstrueux, est exhibé dans les foires. Il s’évade, vole pour manger et se fait enfermer dans un centre de redressement. Là, il se lie d’amitié avec Bobbu, le gros rouquin souffre-douleurs qui s’exprime par proverbes déformés. Ils luttent ensemble contre la violence de leurs congénères et de leurs gardiens mais découvrent des activités illicites abominables : les adolescents les plus forts disparaissent les uns après les autres, car destinés à des expériences dignes de Frankenstein.
Appréciation générale
En une phrase : Dès le début, j’ai apprécié le ton, l’humour, décalé mais avec finesse. L’histoire est un conte, mêlant film d’horreurs pour enfants et réflexion d’auteur sur la société actuelle. Le jeu de la distanciation est parfaitement maîtrisé. Je suis entrée dans le monde de Phaco en m’attachant aux personnages et en me laissant imprégner de leur langage. Au moment où la tension grandit, je suis même partie d’un éclat de rire (ce qui est tout à fait exceptionnel au cours de mes lectures) sur « Tel est cuit qui fait des cendres », pour donner un exemple. En terminant la phrase finale, je n’ai pu retenir un « wouahou ! » de conclusion. Franchement, bravo.
Ce que j'ai particulièrement apprécié : style parfaitement maîtrisé de l’auteur qui fait parler son héros un langage familier, parfois argotique, mais avec truculence et intelligence
Autres commentaires
Style littéraire : le style est justement le plus du livre
Mon sentiment sur le titre du livre : très bien
Ce que je pense des personnages : Tous les personnages sont complètement incarnés, avec les nuances qui leur conviennent, entre dessin animé et film noir.
Ce que je pense du thème général du livre : C’est un monde en soi à découvrir.
Ce livre ferait-il un bon film ? : Le risque est grand de tomber dans une vulgarité sans intérêt. Je préfère en rester à la version écrite.
Evaluation par Druard Sophie